C'est un assassinat politique :
Vijay Rupani
Initialement prévu pour le 5 juin, le départ de l’ex-ministre en chef du Gujarat (l’Etat où se trouve l’aéroport d’Ahmedabad) a été décalé au dernier moment. Il souhaitait participer à une campagne électorale, avant de rejoindre sa femme et sa fille à Londres. Membre du BJP (parti de droite hindou), qu’il a dirigé dans le Gujarat entre 2016 et 2021, il avait quitté ses fonctions en 2021, mais restait actif dans la vie publique. Il était connu pour son calme, sa rigueur et son rôle dans la relance économique post-Covid. Fait troublant : le jour de son décès correspond à son nombre préféré. Selon le journal Times of India, ses proches racontent qu’il considérait le nombre 1206 (12 juin en date) comme un porte-bonheur. Celui-ci figurait sur son scooter et sur sa voiture...
Il aurait dû partir le 5 juin et avait décalé son départ au tout dernier moment...
Cela colle parfaitement avec le "raté" que j'ai pu observer suite à l'avertissement que j'avais bien reçu comme d'habitude juste avant les faits :
https://satanistique.blogspot.com/2025/06/jattends-lattentat.html
https://satanistique.blogspot.com/2025/06/attentats-islamistes-des-avertissements.html
Lire ou relire :
https://satanistique.blogspot.com/2025/06/jattends-lattentat.html
https://satanistique.blogspot.com/2025/06/attentats-islamistes-des-avertissements.html
https://satanistique.blogspot.com/2025/06/deux-jours-de-heurts-entre-police-de.html
https://satanistique.blogspot.com/2025/06/deux-attaques-meurtrieres-dans-des.html
https://satanistique.blogspot.com/2025/06/crash-dun-boeing-787-en-inde-un.html
https://satanistique.blogspot.com/2025/06/thailande-fausse-alerte-la-bombe-dans.html
https://satanistique.blogspot.com/2025/06/bilan-des-attentats-de-cette-premiere.html
Un Britannique parti en Inde disperser les cendres de sa femme, un couple de médecins à l’aube d’un nouveau départ... Ces vies fauchées par le crash d’Air India
Parmi les 279 victimes du crash aérien en Inde figuraient 53 Britanniques, 169 Indiens, sept Portugais et une Canadienne. Histoires de vies brisées.
Arjun Patoliya, un ressortissant britannique de 36 ans s’était rendu en Inde pour accomplir les dernières volontés de son épouse, décédée peu de temps auparavant. Elle souhaitait que ses cendres soient dispersées dans un fleuve sacré de l’État du Gujarat, le Narmada. Après avoir tenu sa promesse, il a embarqué à bord du Boeing 787-8 d’Air India au départ d’Ahmedabad, direction Londres, où il devait retrouver ses deux filles de 4 et 8 ans, rapporte le DailyMail. Ce père de famille a péri dans le crash dramatique de l’avion, comme 278 autres personnes, dont le destin a été brutalement fracassé.
Dans la presse internationale et sur les réseaux sociaux, on a pu lire ces dernières 24 heures les histoires tragiques de nombreux passagers. Un couple de médecins s’apprêtant à démarrer une nouvelle vie au Royaume-Uni, un étudiant qui venait d’être sélectionné parmi 3000 candidats pour aller travailler en Europe... Autant de vies brisées par l’accident, catastrophe aérienne la plus meurtrière au monde depuis 2014.
Pratik Joshi et sa famille
Ce vol représentait pour eux un nouveau départ, comme en témoigne leur large sourire sur une ultime photo capturée quelques minutes avant le drame. Le docteur Pratik Joshi voyageait avec sa femme Komi Vyas et leurs trois enfants – Miraya, huit ans, et les jumeaux Nakul et Pradyut, cinq ans à peine. Le couple de médecins, originaire d’Udaipur (ouest de l’Inde), prévoyait de s’installer au Royaume-Uni. Depuis trois ans, Pratik y exerçait, effectuant des allers-retours, le temps de réunir sa famille. Sa femme venait tout juste de quitter son poste à l’hôpital Pacific d’Udaipur. Le vol du 12 juin devait marquer le début de cette nouvelle vie à l’étranger…
Fiongal et Jamie Greenlaw-Meek
Marié depuis 2022, ce couple britannique avait aussi épousé une même carrière, en dirigeant en duo le centre de bien-être Wellness Foundry à Londres. Les deux hommes revenaient d’une retraite spirituelle. Ils étaient connus sur les réseaux sociaux comme des «gourous» du bien-être. Quelques heures avant l’embarquement, Jamie et Fiongal Greenlaw-Meek ont publié sur Instagram une vidéo depuis l’aéroport d’Ahmedabad, dans l’attente du vol fatal d’Air India. Ils souriaient, faisant leurs adieux à l’Inde après un séjour qualifié de «magique». En blaguant sur les 10 heures de vol qui devait les ramener en Angleterre, ils partageaient leur envie de réaliser un «vlog» retraçant leur voyage. À la fin de la vidéo, ils disaient se sentir «heureux et calmes» en quittant l’Asie du Sud.
La famille Nanabawa
Akeel Nanabawa, son épouse Hannaa Vorajee et leur fille de quatre ans, Sara, rentraient d’un voyage surprise. Ils vivaient à Gloucester, au sud-ouest de l’Angleterre, où Akeel était entrepreneur, et Hannaa dirigeait Peace Inclusion, une organisation engagée pour des causes humanitaires. Sur LinkedIn, l’imam Abdullah Samad, également directeur de l’école de Sara, a exprimé sa peine : «Leur disparition laisse un vide immense.» Il a salué leur générosité et évoqué la joie communicative de Sara, «un rayon de soleil pour son école».
Vijay Rupani
Initialement prévu pour le 5 juin, le départ de l’ex-ministre en chef du Gujarat (l’Etat où se trouve l’aéroport d’Ahmedabad) a été décalé au dernier moment. Il souhaitait participer à une campagne électorale, avant de rejoindre sa femme et sa fille à Londres. Membre du BJP (parti de droite hindou), qu’il a dirigé dans le Gujarat entre 2016 et 2021, il avait quitté ses fonctions en 2021, mais restait actif dans la vie publique. Il était connu pour son calme, sa rigueur et son rôle dans la relance économique post-Covid. Fait troublant : le jour de son décès correspond à son nombre préféré. Selon le journal Times of India, ses proches racontent qu’il considérait le nombre 1206 (12 juin en date) comme un porte-bonheur. Celui-ci figurait sur son scooter et sur sa voiture...
Sahil Patel
Un simple e-mail a bouleversé la vie des Patel. Sahil, 25 ans, venait d’être sélectionné parmi 3 000 candidats dans le cadre de la loterie India Young Professionals Scheme, un programme britannique offrant un visa de travail de deux ans. Originaire du village de Sarod, à 150 km d’Ahmedabad, ce billet aurait été une véritable opportunité de changer de vie.
Lamnunthem Singson
Lamnunthem Singson faisait partie de l’équipage et, avec sa famille, venait de s’installer dans le Gujarat pour fuir les violences entre deux communautés ethniques de l’État du Manipur, au nord-est de l’Inde. À 26 ans, elle était le seul soutien financier de sa famille, selon son cousin. «Sa mère et ses frères dépendaient entièrement d’elle», a-t-il affirmé à des journalistes du Times of India. L’hôtesse de l’air a eu son dernier échange téléphonique avec sa mère le 11 juin. Elle annonçait qu’elle prendrait l’avion le lendemain pour Londres et qu’elle comptait se coucher tôt.
Nirali Sureshkumar Patel
Nirali Patel, dentiste de 32 ans originaire de Mississauga (Ontario), était la seule ressortissante canadienne à bord. Elle laisse derrière elle un mari et un enfant d’un an. Don Patel, un proche, a confié à la chaîne canadienne CTV News ne pas réaliser l’ampleur du drame : «Elle était censée rentrer. Et en nous réveillant, nous avons appris cette tragédie». Le mari de Nirali, bouleversé, a simplement déclaré au journal National Post : «C’était ma femme. Je ne suis pas en état de parler».
En vidéo - Crash du Boeing d’Air India: les images surréalistes du possible survivant de la catastrophe.
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